Pour le gouvernement, c’est une Berezina, précédée par une longue retraite, des redditions devant le patronat, des abandons de postes et des retournements de veste incarnés par le trio Hollande-Valls-Macron. Pourtant, on ne peut pas se contenter de dire « bien fait pour eux ». Ainsi, la perte à un siège de la majorité de gauche dans l’Allier privera ses habitants d’une gestion de progrès animée par un communiste. En revanche, le Val-de-Marne conservera un président communiste à la tête d’une majorité de gauche. Les prophètes médiatiques et les convoitises UMP sont déçus.
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