Face aux marchés financiers qui craignent de perdre les intérêts colossaux que la troïka leur avait offerts sur les emprunts grecs, face à la Commission de Bruxelles qui ne veut rien lâcher, face à Mme Merkel et ses alliés conservateurs ou sociaux-démocrates, les énergies des progressistes européens doivent se mobiliser pour que Syriza soit entendu et les revendications de son peuple satisfaites. C’est affaire de solidarité mais aussi d’intérêt bien compris. La brèche ouverte dans le mur de l’austérité permet de s’y engouffrer. Le premier pas accompli ouvre la voie aux autres. Faire cause commune, c’est développer en France un puissant mouvement contre l’austérité, rassembler les forces qui la refusent. Aide-toi et la Grèce t’aidera.
Patrick Apel Muller
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